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331 pièces chorégraphiques ont été notées dans les années 1700. La grande majorité d’entre elles sont présentées sur des partitions qui associent deux types de notation: la notation musicale – qui à première vue sert à retranscrire l’air à danser – et la notation Beauchamps-Feuillet – qui, semble-t-il, se contente d’encoder la chorégraphie. La lecture croisée qu’impliquent ces partitions invite à redéfinir l’acte même de la lecture : cet acte relève à la fois de l’intellectif et du sensitif. Elle permet de s’interroger sur une possible assimilation de la danse par la musique, et vice versa. Enfin, cette lecture pousse à dépasser le déchiffrage et à s’engager dans un acte interprétatif certes informé par le contexte de production des œuvres, mais qui néanmoins prend en compte l’inévitable ancrage du lecteur dans une forme de présent. Axée sur une ou deux partitions, la présentation pourra par moment passer du théorique au pratique.

Semesterprogramm FS 2016 — 29.01.2016 PDF 479KB